Le Jardin Georges Delaselle ouvre ses portes au public pour la saison 2024

Niché à l’entrée nord-ouest de Haut-Léon Communauté,
le Jardin Georges Delaselle est l’un des témoins de la richesse patrimoniale remarquable du territoire.

Il abrite une extraordinaire collection botanique originaire de tous les continents.

Le Jardin Georges Delaselle ouvre ses portes au public pour la saison 2024,
du 29 avril jusqu’au 3 novembre.

Le jardin est ouvert tous les jours
du 29 avril au 14 octobre 2024 de 11h00 à 18h00
du 15 octobre au 3 novembre 2024 de 11h00 à 17h30

Suite à la la tempête Ciarán qui a frappé le site dans la nuit du 1er au 2 novembre 2023,
des travaux de réhabilitation sont en cours.

Néanmoins, les visiteurs auront l’occasion d’explorer la nécropole ainsi que la palmeraie et de découvrir un jardin qui se transforme sous nos yeux.
Petit à petit, les espaces seront rouverts.

« Ciarán, un jardin à réinventer ! »

Un nouveau parcours de visite immersif et ludique mène le visiteur à la rencontre entre cette tempête « hors norme » et ce joyau botanique et paysager.
De l’impact sur le jardin, jusqu’aux questions d’avenir, il invite à porter un regard nouveau sur le lieu, sur ses fragilités et propose de rêver le devenir de ce bien commun d’exception.

Exposition « Hiatus » cyanotypes de Brigit ber

Pour compléter le parcours scénographique consacré à Georges Delaselle, un cycle d’exposition « Un artiste au jardin » propose, chaque année, un regard artistique contemporain et renouvelé.


En 2024, le site accueille les œuvres en cyanotypies de l’artiste Brigit BER qui nous livre son regard sur le lieu et une exposition inédite sur le jardin convalescent.


Fougères « corne de cerf », « pattes de lapin », cactus, palmiers, fleurs diverses, plantes exotiques, « pattes de kangourou », arbres dressés, d’autres brisés, souches tranchées, retournées, nécropole, rochers et autres curiosités figurent un monde singulier du Jardin Georges Delaselle.


Brigit Ber ouvre un interstice dans le champ de ce réel. Son reportage au cœur du Jardin traduit un regard porté tout autant sur les étonnantes « anatomies » du lieu que sur ses manifestations innées ou acquises.


Ses photographies essentiellement tirées en cyanotypie transforment les couleurs, les lumières, les images du jardin en une rencontre tout de bleu vêtue avec ce que la nature présente de trouble et d’insensé.